La Pièce

Les Suites d'un premier lit

La Perle de le Canebière

d'Eugène Labiche et Marc-Michel



  

Le vaudeville tire son origine et son nom des chansons normandes qui avaient cours, depuis plusieurs siècles, dans le Val-de-Vire Avec le temps, les vaux-de-Vire devinrent des vaudevilles, ou chansons qui courent par la ville, dont l’air est facile à chanter,

Une autre explication donne le mot vaudeville apparaissant vers les années 1500, il désigne une chanson, vaul de ville, voix de ville. Le vaudeville désignant une chanson satirique de circonstance, se chantant sur un air facile qui aidait à sa popularité. C’est en ce sens que Boileau le rattache à la satire, comme un genre éminemment français. 


D’un trait de ce poème en bons mots si fertile,

Le Français, né malin, forma le vaudeville :

Agréable indiscret, qui, conduit par le chant,

Passe de bouche en bouche et s’accroît en marchant.




Les suites d'un premier lit


Trébuchard est un jeune homme qui a mené une vie dissipée. Pour pouvoir payer ses nombreuses dettes, il a dû épouser sa logeuse, la veuve Arthur, une femme aisée avec un certain charme, mais plus très jeune.

Quand la pièce commence, la veuve est morte, lui laissant un petit héritage. Mais elle lui a laissé aussi la charge de sa fille Blanche, née d'un premier lit, assez peu gracieuse, et qui a 48 ans.

Or Trébuchard est amoureux de la jeune Claire Prudenval qu'il aimerait bien épouser, mais qui est dotée d'un père hypocondriaque, peu accommodant. Trébuchard imagine alors de faire épouser Blanche par M. Prudenval, qui deviendrait ainsi son beau-fils !




La Perle de la Canebière


Une matinée, à Paris, chez Monsieur Beautendon, un parfumeur parisien. Antoine, le domestique reçoit ses instructions. M Beautendon attend de Cambrai, Mme de Sainte Poule et sa fille Blanche, qui doit prochainement épouser son timide fils Godefroid.

Godefroid, a, il y a peu, passé un séjour à Marseille chez une fulminante veuve, « Théréson Marcasse ». Effarouché par le comportement de la veuve, il avait quitté son logis sans prendre congé. Pour pallier cette inconvenance, son père M. Beautendon avait inventé que Godefroid était en fait amoureux d'elle, et que, c'est pour cette raison qu'il s'était enfui.

Hélas Beautendon ne pouvait prévoir que la méridionale débarquerait chez lui, avec sa bonne "Miette" semant ainsi la pagaille le jour où Godefroid devait se fiancer.

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